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Air Pressure

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About "Llum i matèria. For Kaija" L'Itinéraire

The audience settles in, while Núria Giménez Comas's piece Llum i matèria (for Kaija) has already begun. The Catalan composer makes us listen to the surrounding murmur, that of the audience soon dominated, as amplification helps, by the murmur of the instrumentalists, some of whom are seated in the side aisles, close to the listeners; a buzzing wave that makes sound happen and the light that irises and diffracts it. With Léo Margue discreetly seated on the podium, the sound spectrum slowly unfolds, fragile particles where the boundary between instrumental playing and fixed sounds is erased in favor of the colors and constellations distributed throughout the space. The piece shifts midway: " Light and heaviness ", wrote Kaija Saariaho, to whom the piece is dedicated. She introduces a darker landscape and grain, a more arid nature (asperities in the strings) shaken by disquieting signals; a sound that sinks into a vertiginous silence, measured, emotionally, by the lament of a lonely piccolo: sensitive as well as striking!

Michele Tosi, Hemisphère son

About "The Land's of Heart Desire" / Carlos Mena

"they were great premieres, (...) They were commissions by Asier Puga, and they were a success. (...)

very Deleuzian, not only for the presence of desire, but also for the approximation to the elements that have already gone, in a vaccum were the pritority is given to the movement (...)"

"fueron dos espléndidos estrenos…(…) Eran dos encargos de Asier Puga, y resultaron todo un acierto. 'The Land Of Heart’s Desire' toma el título de una pieza teatral del poeta y dramaturgo irlandés W. B. Yeats, de donde proceden las partes cantadas de la obra, que, en combinación con los textos (recitados o grabados) del filósofo Paul B. Preciado, quien ha hecho su propia transición de género, configuran, con la música, el corpus narrativo de una composición, en el fondo muy 'deleuziana', no solo por la presencia del deseo; también por su aproximación a los elementos que ya no están, a un vacío en el que prima el movimiento (…)"
El Periódico de Aragón, Javier Losilla

"(...) she shows a clear expertise of instrumentation and timbric exploration."

"En aquesta ocasió, la formació heterogènia formada per violí, violoncel, trompa, trompeta, clarinet, flauta i percussió, acompanyava als textos de Paul B. Preciado i W. B. Yeats, cantats i recitats pel contratenor Carlos Mena, a la composició de Núria Giménez-Comas, compositora catalana, a la seua estrena mundial, sent encàrrec de L’Auditori i el CNDM. (…) va mostrar un clar domini de l’instrumentació i l’exploració tímbrica."
Mikrokosmos 047, Alfons Credo

About "Coratge. Comme un écho dans la distance" / L'Itinéraire

"Ascension du public dans les escaliers, les cursives du centre de formation pour écouter à pleines oreilles et résonances, les vibrations de la voix de Sarah Brabo-Durand pour l'oeuvre de Núria Giménez-Comas Coratge (Comme un écho dans la distance) (2023)
Echo, en duo avec son complice logé à l'autre bout du bâtiment, au rez de chaussée. Voix et clarinette se répondent dans l'espace avec grâce et promptitude. Vibrations du timbre incroyable de la chanteuse qui grimpe dans les aigus avec en enveloppé chaleureux inouï, une force et une nuance surprenante de phrasés onctueux. Chevelure colorée fluorescente comme les couleurs sonores des sons émis par des cordes vocales virtuoses Un "instrument" corporel comme un médium semblable à ceux des artisans du son des compagnons du devoir! Une pièce spatiale qui implique le spectateur dans l'espace, stimule l'écoute et le regard, plonge le corps qui écoute dans les interstices de la musique."

Lamuse-danse, Genevière Charras

About "Clairobscur"

"(…) Clairobscur ushered her into the upper reaches of this list. (…)
The end of this intense travel, is gripping, signing a journey inside the saxophone densities: a very high quality and enjoyable première."

"Clairobscur entra en esa lista por la puerta grande, reforzando las tesituras graves al incluir en el cuarteto dos saxos barítonos que confieren esa oscuridad a la que su título se refiere. La ausencia de las boquillas en dos de los saxofones convocará, en su inicio, técnicas y sonoridades ya presentes en este concierto, añadiendo rugosidad y una densidad propia de Xenakis. Sin embargo, a medida que Clairobscur se desarrolla aumentan los ecos de la música francesa, los espectros fluctuantes que Giménez Comas altera y modula con slaps, aire sin tono, sordinas implantadas en los pabellones de los saxofones y una idea del sonido, de nuevo, que debe mucho a la electroacústica; especialmente, en su uso de texturas y multifónicos. El final de este intenso recorrido, confiado a los dos barítonos, es subyugante, rubricando un viaje a través de las densidades del saxofón: un estreno de muy alta y disfrutable calidad."

Paco Yañez, Scherzo

About "Shadow. Eurydice says" small chamber opera

"Ainsi Nuria Giménez-Comas poursuit-t-elle sa collaboration fructueuse avec Anne Monfort initiée dans Nostalgie 2175, une des musiques-fictions donnée au festival Manifeste de l’Ircam au mois de juin dernier. (...). L’espace sonore nous plonge d’emblée dans un autre univers : sons fluctuants sous l’action déformante de l’électronique. Le verbe est généreux, volontiers répétitif, installant sa propre temporalité. Il est parlé autant que chanté (la dimension lyrique n’est pas écartée) par la voix flexible, séduisante et bien projetée de l’héroïne (superbe Helena Ressurreiçāo) dont les passages constants d’un mode d’émission à un autre (murmuré, parlé, sprechgesang, chanté) s’effectuent avec un naturel sidérant. On retrouve la patte de la compositrice dans une écriture instrumentale ciselée, cursive et plastique, liant étroitement le mot, le son et la couleur. Le traitement électronique dans les dernières minutes ouvre un espace onirique très émotionnel où s’entendent les derniers mots murmurés du personnage qui se dissout dans l’ombre, shadow among shadows.

Sans occulter la réussite des autres propositions mais avec une virtuosité et une efficacité optimale des moyens mis en œuvre, Shadows. Eurydice says consacre cette soirée dédiée au théâtre musical, par sa relecture intéressante du mythe, la force du verbe et une approche sonore du texte poétique qui bouleverse."

Michèle Tosi, Resmusica

"(...) The Rock and heavy-metal mixes magically with lyrical and rhetoric of the protagonist. Full of metaphors, the opera surprises us (...)"

"(...) El público, ubicado en el centro de este universo, acompaña a Eurídice en un monólogo en el que se subleva al hombre mientras desciende al inframundo.

Aquí los instrumentos tienen un papel vertebrador en los sentimientos que Eurídice experimenta. El Rock y el heavy-metal se mezcla mágicamente con la lírica y la retórica que la protagonista pregona. Llena de metáforas, la ópera nos sorprende con unos visuales proyectados que ayudan a crear el ambiente tétrico en las palabras plasmadas por Eurídice. Un personaje en cuya ópera queda totalmente relegada y que, aquí, con la fuerza que la debió caracterizar, se rebela completamente para presentarnos una visión totalmente distinta del personaje que conocemos."

Arriesgar, evolucionar y perder el miedo, Norman Marsà, En Platea

"(...) The text, between a singing and spoken monolog, reaches a continuous and free-flowing prose, (...) also the sound of the viola, electric guitar, piano and electronics are very adapted for the dramaturgy, as a new connexion of the metaphorical speech (...)"

"(...) Un texto entre el canto y el monólogo que logra continuidad y fluidez narrativa, resaltando la coexistencia de recursos audiovisuales y acústicos. El sonido de la viola, la guitarra eléctrica, el piano y la electrónica, dramatúrgicamente, se adaptaron como un nexo más del discurso metafórico, mostrando el conflicto subyacente entre música y texto representados por Orfeo y Eurídice. La escena se prestó a ello; a través de audiovisuales, proyecciones textuales y en un mundo lóbrego, Ressurreição bajó y subió de los infiernos a medio cantar y perorar."

El Liceu y el relevo generacional con Òh!pera: la apuesta por los nuevos talentos, Maria Sánchez, Bachtrack

 

About "Nostalgie 2175" stage work with Cie Day for Night - Anne Monfort

"Le son, extrêmement travaillé, a fait l’objet d’une commande spécifique passée à la compositrice espagnole Núria Giménez-Comas et à l’IRCAM. (...) L’œuvre musicale se rapproche d’un Oratorio très poétique et en même temps très concret, une musique très contemporaine composée sur des instruments classiques, à l’exception d’un violon synthétique qui vient symboliquement illustrer la reconstruction de Taschko. Le son apparait véritablement comme le quatrième acteur de la pièce. Plusieurs références cinématographiques la traversent (...)

Guillaume Lasserre, Mediapart

"Omniprésente, la composition musicale de Núria Giménez Comas élabore une dramaturgie sonore en lien avec les paroles et l’univers visuel de la pièce."

Agnes Santi, La Terrasse

"(...) la partition musicale commandée à compositrice espagnole Núria Giménez-Comas via l’IRCAM impose un phrasé rythmé qui déréalise le propos. La compositrice a suivi les répétitions et travaillé dans dans un grande complémentarité."

Mediapart. Blogs by Pierre Thibaudat

"La musique signée Nuria Gimenez Comas se fait actrice, personnage qui dialogue avec la partition des comédiens, accompagnant le timbre des voix, rythmant la diction, avec des appuis quasi dansant sur la surface du sol magnétique, luisant, réverbérant la lumière changeante. Tantôt chaleur insupportable, tantôt froideur d'un bleu glaçant mais fort esthétisante.."

L'amuse danse. Geneviève Charras

About "Nostalgie 2175" Musique Fiction

"Virtuose de l’œuvre mixte liant l’écriture instrumentale et l’électronique, la compositrice Nuria Giménez-Comas entretient un lien familier avec les logiciels de l’Ircam et l’espace sonore qu’elle aime modeler à son désir. Riche et ciselée, la partie électronique de Nostalgie 2175 associe la source instrumentale enregistrée, celle des flûte et clarinette de L’Instant Donné et les sons de synthèse. La compositrice mène un travail très fin d’intégration de la musique, laissant parfois la voix nue, surtout lorsqu’elle réamorce le récit après les longs silences qui articulent les différentes scènes. Elle peut être discrète, ligne très épurée traversant l’espace ou légère vibration voire bourdonnement à peine perceptible pour suggérer une profondeur. Elle va se colorer, densifier ses textures, laisser sa trace sur les mots ; évoquer des images quand le texte le suggère, sans jamais forcer le trait (grésillement des insectes, bruit de réacteur d’un avion), de manière plus abstraite d’ailleurs que purement illustrative : figures éruptives pour débuter le récit ou souligner la tension du dialogue, amorce énergétique pour lancer une nouvelle scène. Elle prend le dessus parfois, brouillant volontairement la voix du narrateur, telle cette séquence multiphonique où l’humour affleure, exprimant la confusion et le cauchemar de Taschko au milieu des centaines de cassettes VHS où s’énumèrent les titres de films bien connus. La compositrice parle de dramaturgie sonore qui s’ajoute à une dramaturgie de l’espace, musique visuelle et image auditive s’immisçant dans les propos du texte pour en étreindre la violence et l’intensité autant que la poésie."

Michèle Tosi, Hemisphère son

About "De l'intérieur" from the CD of Fanny Vicens

"Avec le mérite de ne pas abuser des effets dans De l’intérieur, de Nuria Gimenez Comas, qui séduit par ses troubles miroitements et ses aspirations voraces."

Pierre Gervasoni, Le Monde

"De l’intérieur – notre coup de cœur – de la benjamine de cet album Nuria Gimenez-Comas invite à l’écoute intime du son de l’accordéon microtonal dont l’outil électronique, en phase avec le jeu de l’accordéoniste, agit en révélateur : battements entre deux fréquences, granulation, souffle, dévoilement spectral (évoquant l’orgue à bouche shō). L’exploration est inventive et délicate, le geste sensible et passionné.

La performance de Fanny Vicens ne l’est pas moins, alliant intelligence du texte, adéquation du geste, énergie du son et déploiement d’un nuancier de couleurs dont l’instrument microtonal exacerbe le potentiel."

Michèle Tosi, Resmusica

About "Nostalgia for light, Yearning for..."

"I have loved to discover her work. It's brilliant. Is a piece with a lot of colours, ethereal textures, soft distant sounds, romantics and wonderful distant solos, in spite that there are also vigorous and dramatics moments."

"(...) un programa on destaca l’estrena de ‘Nostalgia of light, yearning for...’, una obra de la compositora catalana Núria Giménez Comas, inspirada en el poema ‘The sorrow of love’, de l’irlandès William Butler Yeats. «M’ha encantat descobrir el seu treball. És brillant. És una obra amb molts colors, textures etèries, suaus sons distants, romàntics i preciosos solos distants, tot i que també hi ha moments fragorosos i dramàtics», afirma l’espigat Ward (...)"

Duncan Ward, EL periodico interview
 

"(...) is a piece with a large expressif power, that places us in the weakening (of the nostalgie), completelly worthy of the pandemic situation that we are living.

Her musical production stands out with a clear and meticulous musical writing, and with a deep sens of balance (...) The exquisite intervention of the soloist - what a beauty!- give a Mediterranean colour (...)"

"Començarem per l’estrena mundial de l’obra Nostalgia of light, Yearning for… (loud chaunting of the unquiet leaves), de la compositora Núria Giménez-Comas. És una obra orquestral d’una gran força expressiva, que ens situa en el defalliment (de la nostàlgia), absolutament digna de la pandèmia que estem patint.
La seva producció musical destaca per una escriptura clara, perfeccionista, amb un gran sentit de la mesura. En aquesta obra, l’autora proposa dues tendències molt estretament vinculades a la dinàmica del so i la sonoritat orquestral. Per una banda, els episodis contrastius estan molt ben formulats, i per l’altra, la compositora entrellaça amb habilitat els diversos fils temàtics d’esquerra a dreta de l’orquestra. L’exquisida intervenció del concertino -quina bellesa!- dona un acoloriment mediterrani. Els glissandos orquestrals, que deixen caure les fulles, contrasten amb la lluminositat d’una corda fortament cohesionada, i això fa que la nostàlgia (l’enyorament) sigui més suportable. Podem afirmar sense por a equivocar-nos que l’obra de Núria Giménez-Comas és un referent de la composició catalana contemporània."

Carme Miró, Sonnograma Magazine

http://sonograma.org/croniques-de-concerts/nuria-gimenez-comas/

"Llegó el turno del estreno de la tarde, Nostalgia at night, Yearning for… (2020), de la catalana Núria Giménez, (...). Su amplia y diversa producción compositiva abraza la electrónica, la cámara y la orquesta con naturalidad, siendo el desarrollo tímbrico una de sus principales áreas de investigación. El encargo fue compuesto en pandemia y está inspirado en The Sorrow of Love, texto de William Butler Yeats. La obra recorre a través de la orquesta diferentes hilos temáticos, entrelazando los destellos de una percusión muy nutrida, repleta de recursos –destacaron el amplio juego de baquetas, la disposición de al menos un platillo para cada percusionista y el diálogo entre marimba, xilófono y vibráfono–  con glissandos de orquesta y gestos globales. El tránsito de un discurso continuo a uno más entrecortado se hace natural hasta la acumulativa tensión del clímax final. El viaje a través de las secciones y la evolución de los materiales temáticos son elementos que, permitieron al público disfrutar del estreno en una interpretación sin fisuras a pesar de los pocos ensayos con director y OBC, siendo así que varios asistentes felicitaron a la compositora al final de la velada."

Carlos Garcia Reche, PressMusic

https://press-music.com/lauditori-in-crescendo-con-ward-y-el-estreno-de-gimenez-comas/

Sur "...et je perçois ce vol étrange..."

"Puis, c’est la surprise ! Avec la création mondiale de …Et j’ai perçu ce vol étrange, de Núria Giménez-Comas (photo). Cette commande de Radio France, et plus précisément pour l’émission Alla breve, est dédiée Kaija Saariaho, comme de juste, et à Anssi Karttunen, notre violoncelliste à qui revient d’interpréter cette œuvre pour instrument solitaire. La jeune compositrice venue d’Espagne y délivre un réel talent, tout comme son transmetteur, qui nimbe ces dix minutes d’une poésie narrative, dont la virtuosité n’est pas exclue, changeante au cours de cinq parties théoriques mais au climat marqué. On a hâte de réentendre d’autres compositions signées de la même expressive musicienne."

Pierre René-Serna, Concert Classic

"Et j’ai perçu ce vol étrange pour violoncelle fait éclore cinq images sonores à travers lesquelles sont explorés le champ des harmoniques et les variations de textures dans les divers registres de l’instrument : un voyage dans la perception qu’il faut écouter les oreilles grandes ouvertes (...). Acuité du trait, ductilité du son et énergie du geste sont autant de ressorts mis à l’œuvre par Anssi Karttunen pour magnifier l’écriture de la jeune Catalane."

Michèle Tosi, Resmusica

"Une vie foisonnante de la musique contemporaine (...) : On notera aussi la pièce très prometteuse de la jeune Nuria Gimenez-Comas, pour violoncelle seul mais révélant tout un champ de possibles."

Maurice Ulrich, l'Humanité

Others:

Ad limen caeli:

"(...) David Robertson (...) ha tenido la oportunidad de estrenar una composición de la gerundense Nuria Giménez Comas titulada «Ad limine caelum», encargo de la Fundación SGAE-AEOS. Se trata de una partitura breve que, como nos dice en sus clarificadoras notas Cosme Marina, contiene imágenes fugaces de algunos números de la «Misa en si menor» de Bach y que aparece sostenida, a lo largo de su callado y delicado discurrir, sobre una suerte de latido fúnebre aportado casi siempre por lúgubres y recónditos «pizzicati», que dejan oír un escondido discurso impulsado por expresivos glisandi. Escuchamos timbres graves, lejanos rumores, insólitos resplandores en una suerte de fantasmagórico precipitado de signo atonal. «Representaciones efímeras que tejen una textura con diferentes planos y relieves». Tras esta imagen bien urdida (...)

Arturo Reverter, La razon

"Volvía la Orquesta de Cadaqués al ciclo de Ibermúsica, con algunos alicientes atractivos. En primer término, el estreno absoluto de la gerundense Nuria Giménez-Comas (1980) de su partitura Ad Limine Caelum, encargo de la Fundación SGAE-AEOS. Como ella misma señala, la obra contiene alusiones fugaces a fragmentos de la Misa en Si menor de Bach (de cuyo nacimiento se cumplen años justamente el 21 de marzo), en concreto Et incarnatus est y Crucifixus, aunque lo más presente tal vez sean los ritmos extraídos del Agnus Dei, que por momentos adquieren un carácter casi obsesivo. Tímbricamente atrevida y rica, la página fue traducida con entrega por Robertson y sus músicos."

Rafael Ortega Basagoiti, Scherzo

Notturno I

"La pieza de Núria Giménez-Comas -una creadora que admiro enormemente- es un ejemplo de artesanía sonora, de una sutileza e imaginación que me fascina."

Asier Puga, entrevista a Mundoclasico.com

(...) en la gira que hice yo con ellos presentamos a Nuria Giménez Comas por ejemplo, una de las mejores compositoras que hay en España (...)

Asier Puga, entrevista El Periodico de Aragón

Tierra, polvo, tumba

"Tierra, polvo, tumba presenta pasajes muy ruidosos, mientras que otros son más tranquilos y silenciosos, con una percusión profunda y resonancias, pero muy atractivos, especialmente cuando la melodía es rubato o presenta glissandi y hay juegos tímbricos. Encontramos una clara referencia a la Nana de Manuel de Falla, y una de las estrategias más potentes que se presentan detrás de la composición es la voluntad de crear un espacio polifónico."

Aina Vega, El audio del mes, Barcelona Classica

Naissance des mots

(...) il faut retenir (...) le dialogue élégant de la voix et des arabesques du violoncelle live (et traité) de Naissance des mots de la Catalane Núria Giménez-Comas (...) musiciens désormais « à suivre », grâce à l’enthousiasme chaleureux et communicatif de Marie Ythier.

Franck Mallet, Musikzen

Red harsh, atelier-concert(s) Cursus 1

"Du second rendez-vous, nous retenons Red harsh… de l’Espagnole Núria Giménez Comas [photo], reposant sur un violon nuancé qui n’étouffe pas sous ses propres échos retravaillés avec maîtrise."

LB, Anaclase

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